The Air We Breathe: Recommendations to make indoor air safer in the COVID era
La propagation non atténuée, saisonnière et répétée du COVID-19 laisse présager une catastrophe sous la forme d'un événement invalidant de masse. Non seulement représente-t-elle l'exclusion des Canadiens immunodéficients, dont beaucoup seront devenus immunodéficients en raison de la pandémie elle-même, mais elle laisse également entrevoir une hémorragie continue de travailleurs atteints de maladies chroniques dans des marchés du travail déjà restreints. La recherche montre que des réponses structurelles peuvent contribuer à atténuer une partie du risque et à nous rapprocher d'un Canada accessible à tous : Nous devons réparer l'air que nous respirons.
The Air We Breathe examine les tensions et les contradictions entre l'engagement du Canada à devenir un pays accessible et les compromis qu'imposent une politique économique et une politique de lutte contre les pandémies. Il fournit des recommandations aux gouvernements et aux employeurs pour améliorer la qualité de l'air intérieur, ce qui pourrait contribuer à réduire la transmission du COVID-19, qui est un virus transmis par voie aérienne. Tout comme "vivre avec le choléra" a nécessité des campagnes d'éducation et des changements d'infrastructure, nous devons faire de même pour le COVID-19.
Disponible en anglais seulement.
The Air we Breathe: Recommendations to make indoor air safer in the COVID era
"Un événement comme le choléra n'est pas un problème pour nous, car les changements d'infrastructures, comme la plomberie et le lavage des mains, le rendent sans importance. Pour moi, la partie la plus importante de ce rapport est d'expliquer que nous n'avons pas connu de tels changements lorsqu'il s'agit de "vivre avec le COVID". Pour les personnes qui ne sont pas sûres de la nécessité d'agir, j'essaie d'expliquer les données dans le langage le plus simple possible et leur importance pour un Canada juste et inclusif des personnes en situation de handicap.
Pour ceux qui savent déjà qu'ils veulent agir, je propose des suggestions tant pour leurs organisations que pour leurs gouvernements. Mais les données sont claires : appeler la pandémie au passé parce que nous sommes fatigués d'y faire face a causé des dommages astronomiques et risque fort de continuer à le faire. Nous ne pouvons pas jouer notre avenir sur la possibilité d'obtenir un vaccin miracle pour nous tirer d'affaire. Nous savons ce qui peut fonctionner, dès maintenant, et nous devons le faire."
-Eleanor Hamilton, auteur